Le directeur de l’Institut Religioscope a été l’invité de plusieurs institutions académiques dans trois pays au cours d’une période de quatre semaines.
Jean-François Mayer est ainsi intervenu à deux reprises à l’Université de Lausanne. Le 14 avril 2015, dans le cadre d’un séminaire organisé par le professeur Jörg Stolz, il s’est penché sur la dérive violente du mouvement japonais Aum Shinrikyo, vingt ans après les attentats au gaz sarin dans le métro de Tokyo. Le 21 avril, Jean-François Mayer s’est à nouveau rendu à l’Université de Lausanne, mais cette fois-ci dans le cadre d’une journée d’étude marquant l’achèvement de la première année d’un projet de trois ans soutenu par le Fonds national suisse de la recherche sur les communautés religieuses, leur vieillissement et évolution de la prise en charge de soins; à la demande des organisateurs, il a introduit la journée par un exposé sur les religions dans l’Europe francophone entre privé et public, en portant particulièrement attention à l’évolution du catholicisme.
Le 17 avril, Jean-François Mayer se trouvait à Paris, à l’invitation des doctorants et post-doctorants du Groupe Sociétés, Religions, Laïcités (GSRL). Dans le cadre du cycle 2014-2015 “Étudier les faits religieux: théories et méthodes au carrefour des sciences sociales”, le directeur de l’Institut Religioscope a présenté des réflexions suivies d’un riche échange avec les participants autour de ses expériences: “Un historien sur le terrain des sociologues: étudier les mouvements religieux contemporains, entre recherches et controverses”.
Le 28 avril, Jean-François Mayer était en Suède, à l’invitation de l’Université de Dalarna, à Falun, en Dalécarlie. Après un séminaire le matin sur Aum Shinrikyo, il s’est exprimé l’après-midi en conférence publique sur un thème d’une brûlante actualité: “From Radical Islamism to Jihadist Caliphate: Religion, Violence and Legitimacy in the Contemporary World”.